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mardi 16 octobre 2018

Nice : quand le juge des référés à la morale élastique, l’avocat véreux et l’huissier complice fricotent avec une petit criminel italien



Nice : quand le juge des référés à la morale élastique, l’avocat véreux et l’huissier complice fricotent avec une petit criminel italien, valident et font usage sans complexe des faux que ce dernier  produit pour justifier d’une action en justice contre des familles et des citoyens aux situations sociales fragilisées... et passent outre leurs obligations procédurale pour les jeter à la rue. 


A l’heure où le Anne hidalgo, Maire de Paris ouvre des bâtiment municipaux pour héberger des sans abris. A l’heure ou elle demande aux entreprises publiques et privées de mettre si possible à disposition des associations qui s’occupent des sans abris leur bâtiment inoccupé… il ne fait pas bon sur la Côte d’Azur vivre en dessous du seuil de pauvreté ( Seuil de pauvreté 2017 en France : 1.015€ pour une personne .) et être réduit à occuper sans titre des logements inhabités… l’histoire serait presque cocasse si elle n’était pas dramatique pour les familles et des personnes fragilisées par le destin qui en sont victimes.

Car ici les rôles sont inversés. Le véritable criminel, un avocat  italien sans morale, Gian Franco Vignoli Rinaldi a déjà été condamné pour 2 ans et demi pour concussion aux arrêts domiciliaires en Italie ( il n’évite les de prison ferme qu’eu égard à son âge avancé) . 



Riri, Fifi et Loulou (on les appellera ainsi dans l'article), quant à eux, victimes des aléas de la vie, occupaient sans titres les appartement vides dont Vignoli Rinaldi  est propriétaire au titre d’actionnaire de la société anonyme de droit suisse Marzia, en liquidation depuis 20 ans… 

Le 23 mai 2017,  le déjà douteux Gian Franco Vignoli Rinaldi n’hésite pas à produire des faux pour justifier être en droit de poursuivre en justice les occupants  des appartements dont il est propriétaire au travers cette société anonyme suisse, Marzia SA et demander un jugement en référé.

Ce faux mandat, un « torchon » manuscrit, rédigé en italien et à la va vite sur un simple papier à lettre sans en-tête, ne comporte en outre pas de date ni de tampon. Il serait prétendument rédigé par la gestionnaire de la société « Alba Advisor » de Lugano en Suisse,  madame Memmi Fava, qui et le liquidateur de la société anonyme Suisse Marzia SA. 

Voici le fameux « mandat » sur lequel repose cette action en justice.










L’étrange apparence de cet improbable « mandat » et de sa « traduction libre »  n’inquiète pas l’avocat de Vignoli Rinaldi, Maître Zucarelli, dont la morale est élastique, comme on va le voir. Zucarelli, pour les besoins de la cause, s’autoproclame « traducteur assermenté » et présente donc au juge des référés ledit « mandat » accompagné d’une traduction de son cru.

N’importe quelle personne sensée à la vue de ce document, aurait eu des doutes légitimes. Mais cela n’embarrasse pas le juge des référés, Caroline Prieur, qui n’est pas non plus gêné par la traduction non assermentée produite par l’avocat Zucarelli.

Toutes ces bizarreries ne tracassent donc pas le juge des référés  : ni l’étrangeté flagrante  du soit disant « mandat », ni la production de traduction non assermentées, ni l’obscure situation de la société Marzia SA en liquidation depuis plus de 20 ans, et la douteuse situation fiscale de ses actionnaires.

En effet entre autre bizarreries, on notera au passage que Marzia SA est en liquidation depuis… plus de 20 ans. Ses actionnaires, des notables italiens aisés, ont pratiqué l’évasion fiscale et créé cette société pour gérer des biens immobiliers sis à Nice, dans le centre ville. 4 petits et 4 grands appartements, pour certains occupés pour les vacances, pour un autre insalubre et inhabitable depuis toujours. Hélas pour eux,  ces « malheureux riches »  sont rattrapés il y a 3 ans par le fisc italien. Ils se voient donc obligés soit de vendre leur bien, si possible de façon discrète, soit de les déclarer à l’administration fiscale en italie. Cela dans le cadre de la loi dite « volontary disclosure », qui permettait aux intéressés moyennant une petite amende, de se mettre en règle avec les impôts dans leur pays, cela avant le 30/9/2015.

De fait , un juge « normal », dans une juridiction fonctionnant sainement,  se  serait simplement déclaré incompétent face à une situation trop obscure et compliquée, et aurait refusé de juger l’affaire en référé.

Cela d’autant plus l’argument de Zucarelli pour invoquer l’état d’urgence  et justifier ce référé, serait que l’occupation des appartement en empêcherait la vente. 

Là encore le juge complaisant, passe outre les arguments évoqués par la défense, et en particulier que la Marzia SA étant en liquidation depuis 20 ans, on ne voit pas bien où serait l’urgence. Et que c’est en fait depuis 2013, et avant la date fatidique limite pour la fameuse « volontary disclosure », que les actionnaires chercher à vendre leur bien.




Dans cette histoire d'évasion fiscale sur fond de trafic d'argent liquide,  une série de courrier dont nous avons eu connaissance, démontrent que ce sont les nombreux désaccords entre les associés qui sont à la source des échecs répétés des tentatives de ventes des biens. 

Il faut ici faire une parenthèse éclairante et expliquer qu’en Suisse, le liquidateur d’une société n’a aucuns pouvoirs, si ce n’est … d’exécuter les décisions prises par les actionnaires de la société lors de des conseils d’administration… en language clair ce sont les actionnaires qui dictent leurs ordres au liquidateur, lequel n’a pas pouvoir de signature sans leur aval !

Le 16 juin 2016, la liquidatrice Memmi Fava, écrit 





et aussi  





et enfin






Las ! Le fameux Vignoli Rinaldi, qui se trouve être à l’origine du procès intenté aux occupant sans titre Riri, Fifi et Loulou, écrit dans l’un de ses emails, et concernant les conditions qu’il souhaite pour une vente éventuelle «  je demande… le versement  en espèce, en France ou en Italie de la somme de 760 000, pour la cession des huit actions… avant le 15/20 juillet 2015

Et pas gêné pour un sou, il rajoute "tous les coûts fiscaux et administratifs ( sous entendu y compris la plus value éventuelle)   seront entièrement à charge de l'acquéreur" ...

Il est bien évident que la plus value de la vente d'un bien en France est toujours à charge du propriétaire vendeur... mais il semble que rien ne peut arrêter Vignoli Rinaldi dans ses délires !









Pas du tout gêné de l'énormité de ses prétention et surfant  allègrement  sur la vague de l'illégalité, dans une autre proposition de vente, Vignoli Rinaldi écrit aussi à une autre occasion

En ma qualité d’associé majoritaire de la société MARZIA S.A. en liquidation, sise à Lugano (CA), possédant cinq actions (sur huit) de la société précitée, 
je déclare (...que je réclame en cas de vente )
…..
a) le Paiement du montant net de 650.000,00 euros (six cent cinquante mille/00) comme suit : paiement en espèces en faveur du déclarant, Maître Gianfranco Vignoli Rinaldi, domicilié Corso Vercelli 11 (Italie), de la somme de 325.000,00 euros avant le 5 mars 2016 ;
b) paiement du reliquat (325.000,00 euros) par virement bancaire effectué au bénéfice de Maître Gianfranco Vignoli Rinaldi, sur son compte ouvert auprès de la Banque « Intesa San Paolo » de Milan, Corso Vercelli, c/c n° 42961-35, code ………………………………………………………………………………………………………………
Paiement à effectuer avant le 15/3/2016 ; 
….

On notera au passage qu'il réclame donc que la totalité du paiement des 8 actions appartenant à 4 propriétaires, lui soit versé en intégralité... on peut facilement comprendre que les autres associés aient du mal à accepter ses offres inconsidérées.

Mais foin de toutes ces irrégularités ! Pas la peine de faire un pataquès de cette trouble situation.  Ici les criminels ce ne sont ceux qui font de faux documents et demandent des montagnes de cash... ce sont LES PAUVRES. Il faut vite les jeter à la rue  de toute urgence!


C’est la dame chargée du services des expulsions de la préfecture qui l'assène à  « Mimi », l’une des personnes expulsée sans ménagement ce 12 octobre 2018, sur un ton peu amène : «  Vous êtes des multi récidivistes ». 

Hé oui car tenez vous bien !  Vivre avec moins de 450 et 850 euros par moi, bien en dessous du seuil de pauvreté de 1015€ par mois pour une personne seule, se retrouver dans l’impossibilité de ce fait de trouver un logement décent (Mimi a déposé une demande de logement social il y a 5 ans déjà, et Riri depuis bientôt 2 ans), cela fait d’eux des « criminels ». Car en effet les aléas de la vie les ont déjà confrontés à l’impossibilité de faire face à leurs charge locatives, et à une première expulsion il y a 4 ans .

Finalement le référé  réclamé sur la base d'un faux flagrant a donc lieu le 19 mars 2018, et le juge Caroline Prieur sans états d’âme accepte de fonder l’action en référé sur le faux mandat présenté par Zucarelli. 





Le juge Caroline Prieur rend son verdict  et fondant ce verdict sur un faux mandat produit par un avocat peu regardant,  elle condamne à l’expulsion les occupants sans titres des logements en question.


Alors  la lourde mécanique se met en marche… l’huissier entre dans la danse. Tentative d’expulsion, commandement de quitter les lieux dont on ne retrouve pas trace…  tout cela alors même que les expulsés et leur avocat font appel, ( appel est fixé pour avril 2019).

On porte plainte pour faux et usage de faux contre l'avocat, le liquidateur et l'actionnaire indélicat.

Devant la tournure des évènements,  les expulsés mettent la pression sur la liquidatrice Memmi Fava et lui demandent de confirmer que c’est bien elle qui a écrit le fameux « mandat » sur lequel repose toute l’action en justice et donc leur condamnation à être expulsés.

Silence prolongé de celle ci…

C’est alors que les expulsés potentiels, Riri, Fifi et Loulou décident de porter plainte pour faux et usage de faux, à Nice auprès des procureur de la république et du bâtonnier, à Milan et à Lugano, auprès des procureurs concernés.

Chez l’avocat Zucarelli et son client Gianfranco Vignoli Rinaldi, c’est l’affolement. Et ils vont commettre une bête et grosse erreur : ils vont pousser la liquidatrice Memmi Fava à faire un deuxième faux, antidaté. Ce document que nous avons pu nous procurer, a cette fois tout d’un document officiel en bonne et due forme . Il est sur papier à en tête, tamponné et signé par Memmi Fava en personne.   Et là, surprise ! Cette signature, bien authentique pour le coup, n’est absolument pas celle  qui est apposée en bas du premier «  mandat » sur lequel repose le premier jugement en référé… démontrant clairement qu’il s’agit donc bien d’un faux, dont l’avocat Zucarelli n’a pas hésité à faire usage en pleine connaissance de cause.



Autre joyeuseté, en l'occurence dans ce deuxième faux document antidaté, ladministrateur, qui est normalement le mandataire de justice chargée en cas de graves crises résultant d'un dysfonctionnement des organes de gestion ou d'un conflit entre associés mettant en péril les intérêts de la société, d'assurer momentanément la gestion de la société au lieu et place des dirigeants, cet administrateur donc donne mandant pour le représenter en justice à l'un des associés de la société liquidée.  On nage en plein Feydeau. 


A l'heure où je rédige cet article je ne suis pas encore arrivée à savoir la position exacte de l'administration suisse et française dans ce cas de figure.... mais à vue de nez cela sent le conflit d'intérêt bien ficelé.

Du reste on ne comprend pas très bien pourquoi ce dernier « mandat avec signature authentique », si il avait bien existe à l’époque, n’aurait pas été produit en première instance, à la place du fameux faux !

Et de plus dans ce deuxième faux, l'administratrice  Memmi Fava indique  donner mandat à Vignoli Rinaldi pour agir en justice  avec l'avocat Zucarelli ... mais si cela avait bien été le cas  et en admettant que cela soit légal pourquoi Zucarelli en première instance n' a t il pas produit ce document assorti à un mandat qui lui aurait été donné par Vignoli Rinaldi, au lieu du premier faux soit disant signé par Memmi Fava.

Et aucun compte rendu d'assemblée autorisant la liquidatrice Memmi Fava à donner mandat à Vignoli Rinaldi n'est produit !

Cerise sur le gâteau en consultant les propriétés de ce deuxième mandat document pdf rédigé par Memmi Fava et produit par Zucarelli, antidaté au 17 juin 2016, il apparait  clairement qu’il a été en réalité créé le 17 juillet 2018, soit après le plaintes pour faux et usage de faux lancées contre Marzi, Zucarelli et Vignoli Rinaldi.






Alors devant les preuves irréfutables apportées par les expulsés qui démontrent sans équivoque que tout le jugement repose sur un fais et usage de faux, Zucarelli, Vigoli Rinaldi  et la société d’huissier Lillamand, Tosello, Sorrentino décident de faire monter la pression. 


En effet ils savent tous qu’en appel toute leur machination va être mise à jour. Il devient donc urgent pour eux d’expulser manu militari et sans respecter les procédure normales, les occupants des appartements abandonnés.


L’étude d’huissier  Lillmand, Tosello, Sorrentino décide donc de passer outre la procédure qui  devrait être respectée, et prend le risque d’agir sans respecter la procédure légale. Elle ne fait parvenir ni par courrier, ni par voie d’huissier le document ci dessous qui devrait annoncer sa venue et demandant aux expulsés de lui téléphoner. Il sait bien en effet qu’à réception de ce document les expulsés potentiels vont le joindre, prendre contact avec  leur avocat, les travailleurs sociaux chargés de leur venir en aident de trouver des solutions, et qu’il obtiendront des délais. En effet ils ont tous déposés des dossiers DALO.

En effet vu leurs situations ils devraient pouvoir faire valoir leur droit au logement opposable : ils ont déposés des demandes de logement social , régulièrement renouvelées, restées sans réponses depuis un temps anormalement long,  et ils ont reçu un jugement d'expulsion et de plus les logement qu'ils occupent sans titre sont insalubres.

En fait c’est uniquement le jour même de l’expulsion et après avoir mis à la rue tous les occupants qu’il remet ce courrier à Mimi et Riri qui ont droit à une copie chacuns.






On appréciera  la formule «  si vous avez des difficultés vous pouvez joindre l’étude ».


Riri, Fifi et Loulou,  expulsés manus militari, n’ont JAMAIS RECU CETTE LETTRE ! Ils ont été jetés à la rue et sont à ce jour  sans domicile fixe.

iIs avaient en revanche pris rendez vous auprès des services sociaux concernés  pour le lendemain du jour où ils ont été expulsés, afin de trouver des solutions.

Il est bien évident que si ils avaient reçu cette lettre ils l’auraient évoquée au travailleur social chargé de leur dossier. 

De fait il semblerait que  celui ci n’a pas non plus eu connaissance de ce courrier

L’huissier en agissant de la sorte, les a volontairement privés de la possibilité de faire valoir leur droit DALO, d’être traités avec humanité et d’être relogés dans des conditions décentes dans des logements sociaux, en leur évitant le traumatisme d’être jetés la rue.


Tout comme lors de la deuxième guerre mondiale, il s’est trouvé de personnes bien pensantes pour dénoncer les juifs et les envoyer dans des camps de concentration, il existe aujourd’hui des « bonnes âmes » prêts à faire respecter le jugements iniques demandé par un avocat véreux et rendu par un juge laxiste  dont on peut à juste titre se demander si il n’a pas touché une enveloppe pour fermer les yeux !

Mais on peut penser que  l’affaire n’en restera pas là.

La procédure d'appel court toujours, de même que les plaintes déposées contre L'avocat Zucarelli, l'administratice, Memmi Fava, et l'actionnaire Gian Franco Vignali Rinaldi. Riri, Fifi et Loulou ont aussi décidé qu'ils allaient faire valoir leur droit à une justice non partisane, et poursuivront en justice,  le moment venu, l’huissier en demandant la nullité de la procédure d’expulsion pour vice de forme et de fond . En effet  l’huissier dans cette affaire  à manqué de respecter des formalités substantielles ( envoie de documents et du courrier annonçant sa venue en temps utiles et de façon que les expulsés potentiels les avaient bien reçus), et du fait des graves préjudices et griefs causés par cette inobservation, et dont ils sont victimes car ils se sont retrouvés jetés à la rue sans ménagement.

Et de plus effet selon l'article 117 du Nouveau Code de procédure civile, « constituent des irrégularités de fond affectant la validité de l'acte » :
  • « le défaut de pouvoir d'une partie ou d'une personne figurant au procès comme représentant soit d'une personne morale, soit d'une personne atteinte d'une incapacité d'exercice » (Cass. 2e civ., 16 oct. 1984 : Gaz. Pal. 1985, pan. no 50) ;
  • « le défaut de capacité ou de pouvoir d'une personne assurant la représentation d'une partie en justice »
Or on le voit bien les mandats donnés à l'avocat Zucarelli pour instruire cette affaire sont des faux

Enfin dernier aspect trouble dans cette aventure, aucunes des personnes qui se sont présentées avec l’huissier le jour de l’expulsion, n’a fait connaitre son identité. En particulier un doute plane sur celle d’un policier présent qui serait venu … de Fréjus… spécialement pour cette occasion

Affaire à suivre donc

Françoise Zorro
francoisezorro@gmail.com

lundi 25 mai 2015

Monte Carlo Polo Club: l' Association de Défense des Contribuables de Beausoleil demande des comptes

Le président de l'Association de Défense des Contribuables de Beausoleil s'interroge sur les factures impayées du Monte Carlo Polo Club.

C'est le 14 mai 2015 que l' Association de Défense des Contribuables de Beausoleil a écrit au maire de Beausoleil, Gérard Spinelli pour demander des comptes à propos des sommes impayées à la commune par le Monte Carlo Polo Club.

Comme le souligne Robert Vial, le président de l'Association de Défense des Contribuables de Beausoleil, les faits sont troublants.


Redevance mensuelle impayée !

"la convention qui liait la ville de Beausoleil au Monte Carlo Polo Club prévoyait une redevance mensuelle payable à la Commune, d'un montant de 5.454€.

Il semble bien, vue les échanges de courriers entre les services communaux et Mr Robert Vial, que depuis plusieurs mois, cette redevance n'ai plus été réglée par le Monte Carlo Polo Club".

Une résiliation de la convention de plein droit, qui s'embourberait dans une action en justice ?

"Or comme je le souligne dans mon courrier, la commune affirme -"avoir agi en justice pour obtenir résiliation de cette convention"-, ce qui est véritablement bien étonnant puisque la convention initiale liant Beausoleil au Monte Carlo Polo Club prévoyait , comme nous avons pu le vérifier, -" la résiliation de plein droit dudit contrat en cas de défaillance du preneur"-.

C'est la raison pour laquelle je demande au maire de chiffrer le manque à gagner de la commune, de m'indiquer comment il entend obtenir réparation du préjudice subi".


Soucieux de protéger l'argent des contribuables, Robert Vial enfonce le clou : " je souhaiterais recevoir communication.... (des) factures afférentes à la destruction du stade en stabilisé, que (le Monte Carlo Polo Club) a sûrement fourni à la commune, ainsi que du mémoire de saisine du Tribunal Administratif... (et) être informé des suites judiciaires ou amiable que connaîtra cette affaire".

Pour contacter l'Association de Défense des Contribuables de Beausoleil , écrire au siège: 18 chemin Romain, 06240 Beausoleil.



Bizarrement, un "magazine officiel du Monte Carlo Polo Club" a pointé son nez en ligne, avec la encore, toutes sortes d'effet d'annonce, mais toujours pas d'adresse pour le nouveau terrain !

Le contenu dudit "magazine officiel" est essentiellement une ode à la gloire de Francesco Mitrano, président de l'association. Pour le reste peu de faits, pas de détails... tout cela évoque de manière irrépressible les méthodes classiques de propagandes utilisées par les escrocs pour "enfumer " leur victimes.


La classique chasse aux soutiens officiels pour crédibiliser une entreprise douteuse et gruger les naïfs.


Mais ce qui est plus grave, c'est qu'on y apprend que le Prince Albert de Monaco a accordé son patronage à l'évènement, et que le bénéfice de la soirée de charité sera attribué à la fondation Princesse Charlène !
On peut à juste titre se demander comment une opération entachée de soupçons de blanchiment d'argent, de financement obscur...  comment donc une structure qui de source sûre a laissé "des ardoises impayées" sur le dos des contribuables français, qui a abreuvé le public d'annonces mensongères à propos de la création et de l'activité d'une École de Polo sur le Stade du Devens depuis décembre 2013, laquelle école n'a jamais  connu le moindre début d'existence matérielle ou administrative... comment donc un projet aussi fumeux peut il bénéficier du Haut Patronage du boss de Monaco, et se servir de la Fondation de son épouse pour se mettre en valeur ?



Mitrano bénéficie-t-il de soutiens confidentiels au sein du Palais? Aurait il "graissé la patte" ou fait miroiter quelques bénéfices secrets à quelque proche du Prince qui aurait l'oreille du souverain? La question reste posée. 


Le fait que d'importantes sommes d'argent auraient circulé en cash et de façon secrète  dès l'origine du Monte Carlo Polo Club laisse planer le doute.  Cela d'autant plus que les premiers partenaires de Francesco Mitrano, à peine l'association créée, se sont empressés  d'y mettre en terme et de s'éloigner de ce sulfureux personnage... 
Bizarre aussi que les membres de l'équipe officielle de Polo de Monaco, la Monte Carlo Polo TeamRommy Gianni, Francesco Caroli et Marco Meneghini, tous fils de bonne famille, sportifs accomplis, amoureux de l'étiquette et de l'esprit de fair-play qui illustrent ce sport,  non seulement ne soutiennent pas le Monte Carlo Polo Club, mais aient créé de leur côté, outre l'équipe avec laquelle ils remportent de nombreux succès sportifs,  une Fédération Monégasque de Polo, comme pour bien se différencier des entreprises de Francesco Mitrano ?

En tous cas, la méthode n'a rien de nouveau  et nombreux ceux qui s'y sont essayé !  Elle est du reste celle qui fonde le sponsoring et le mécénat. Il s'agit tout simplement de se rapprocher de personnalités en vue, de façon à pouvoir profiter de leur nom, de leur image et de leur aura, que l'on associe à son évènement ou à son nom. 

Et ce ne serait pas la première ni la dernière fois que des indélicats utiliseraient le nom et l'aura du Souverain Monégasque et de ses proches

Dernier en date,  Wojciech Janowski, compagnon de Sylvia Pastor,  au cœur de l' enquête criminelle menée par les hommes de la DIPJ de Marseille, l'assassinat d'Hélène Pastor, la riche héritière monégasque morte par balles à la suite d'un guet-apens en mai dernier à Nice. 

Soupçonné d'avoir commandité cette embuscade mortelle, perpétrée par deux tueurs marseillais, Wojciech Janowski avait acquit la réputation d'un bienfaiteur, notamment lui aussi au sein de l'association de lutte contre l'autisme Monaco Against Autism (MONAA), dont il était le co-fondateur et vice-président et dont la présidente d'honneur n'est autre que la princesse Charlène de Monaco.

lire tout l'article ici 

lundi 9 mars 2015

Monte carlo polo Club 7/03/2015 : what remains !


Monte carlo polo Club 7/03/2015 : what remains !

Monte carlo Polo Club 03.07.2015  What's left ... After a "launch" by its president, Francesco Mitrano, with a lot of nice words, in December 2013, here is what remains of the "Monte Carlo Polo Club", installed illegally on municipal land the town of Beausoleil: 2 box abandoned, the roof was ripped off by bad weather ... 

just after its launch august 2013, it soon became clear that this "Monte Carlo Polo Club" was financed obscurely, with heavy suspicion of cash money being paid  illegally to  the mayor of Beausoleil.
Now  here is what remains today of what was announced as the Monte Carlo Polo Club, his "club house" and "School of Polo".
more info here 
you can read there the full story

mardi 13 janvier 2015

Fred Nall Hollis, toxic gigolo : " l'argent de ma femme, c'est seulement pour moi ! "

Divorce "Hollis contre Hollis", Patricia Cole contre le peintre Fred Nall Hollis : justice  est elle enfin rendue ?


L'Honorable Juge Langford Floyd du tribunal de Bay Minette,  rendait  le mercredi 29 octobre 2014 une décision sans appel: Il donnait 14 jours à dater du 29 octobre 2014 ( soit  jusqu'au 13 novembre 2014) à Fred Nall Hollis dit Nall pour rendre les clef de la maison de Vence à son ex épouse, Patricia "Tuscia" Cole … Si Nall n'obtempérait pas dans le délai imparti, il y aurait  "outrage à magistrat"  et Nall devrait peut être se rendre  tout droit … à la "case prison" !


Mais revenons un peu en arrière, pour mieux comprendre la décision du Juge.

Le 20 juin 2012, le Juge Langford Floyd du tribunal de Bay Minette en Alabama, rendait un jugement dans l'affaire du divorce "Hollis contre Hollis", opposant Patricia Cole et l'homme qu'elle avait épousé le 18 mai 1991, le peintre Fred Nall Hollis. 

Cela faisait déjà  depuis septembre 2007, soit 7 ans, que  Patricia  Cole  avait introduit une instance en divorce pour altération définitive du lien conjugal, contre son  époux.

Le jugement  du  20 juin 2012, attribuait les propriété d'Alabama à Fred Nall Hollis, citoyen et résident américain. Soit : une boutique atelier dans le centre ville, et une maison au bord de la mer à Fairhope, Alabama, ravissante petite ville de villégiature chic sur le rivage du golfe du Mexique; les 2 propriétés ayant été  achetées  par Patricia "Tuscia" Cole avec ses fonds propres.

C'est à Patricia Cole que le Juge Langord Floyd attribuait, dans ce même jugement de 2012, et cela  par mesure d'équité, une maison sise à  Vence, dans le sud de la France ( Alpes Maritimes), maison aussi entièrement payée  en juillet 1991 sur les fonds propres de Patricia "Tuscia" Cole, comme cela a été démontré.

La date buttoir finalement donnée par le Juge pour que Fred Nall Hollis ( qui avait demandé des délais) quitte la maison de Vence,  était le 31 mars 2013.  Mais bien que le jugement lui ait été signifié, le peintre  Nall , citoyen et résident américain, répétons le, a  jusqu'à ce jour, toujours refusé de quitter ladite  maison Vence, qu'il occupe lors des ses nombreux séjours en France effectués avec un visa "touriste" ( visa qui lui  donne le droit de séjourner 3 mois par an en France ).


L'agenda secret de Fred Nall Hollis ?  Extorquer tout l'argent possible à son ex épouse, la dépouiller et la déposséder de tout ce qu'elle a pu posséder!


Non content de refuser de respecter le jugement rendu par le Juge Langford Floyd en  "squattant" ainsi la maison qui revient de droit à son ex épouse, Nall  a entre temps, sans autorisation et sans autre forme de procès, sans en avertir quiconque, procédé à la vente de la maison d'habitation de Fairhope,  Alabama, vente dont il a retiré la coquette somme de 1.100 000 US $. 

On  peut imaginer combien l'Honorable Langford Floyd  a pu  être furieux de constater l'attitude de Nall ! Le Juge américain a donc lancé une procédure contre lui pour outrage à magistrat, au motif qu'il n'a pas respecté le premier jugement rendu le 20 juin 2012, ni les délais qui lui avait généreusement été accordés pour quitter les lieux. Pour finir,  l'Honorable Juge Langford Floyd du tribunal de Bay Minette, Alabama,  a rendu le mercredi 29 octobre 2014 une décision sans appel: Nall avait14 jours, soit  jusqu'au 13 novembre 2014 pour rendre les clef de la maison de Vence à son ex épouse, Patricia "Tuscia" Cole et quitter le lieux … 

L'ordonnance  temporaire rendue étati très claire: non seulement elle interdisait à Nall de vendre quelque propriété que ce soit avant la fin définitive de l'affaire, mais elle stipulait aussi qu'outre l'obligation de rendre les clefs  à "Tuscia" Patrica cole , Nall a aussi celle de laisser  à  Vence  tous les meubles meublants et oeuvres d'arts qui s'y trouvent.

Mais Nall refuse obstinément d'obéir au juge. Il démontre une volonté claire de chercher à nuire à son ex femme, et pour arriver à ses fins, n'hésite devant aucunes ruses, aucuns mensonges, aucune malhonnêteté.

Si le jugement américain lui est favorable ( il lui accorde les 2 propriété de Fairhope, Alabama), alors il trouve normal de l'appliquer. Mais si les clauses de ce jugement  ne lui sont pas favorables ( il doit donner la maison de Vence à son ex femme, qui l'a entièrement payée sur ses deniers), alors il s'abrite derrière des arguments fallacieux, refuse de laisser s'appliquer l'Exequatur, et de lui remettre les clefs et de lui laisser la propriété et la jouissance de ce bien.

Le juge d'Alabama lui interdit il de retirer quelque oeuvre d'art que ce soit de la propriété de Vence qui revient à son ex épouse? Qu'à cela ne tienne, il bafoue la loi, l'honneur du juge et embarque tout simplement tout ce qui lui plait, sous les yeux de témoins médusés. Ainsi depuis le 29 octobre 2014, il refuse obstinément de rendre les clefs de a propriété  à son ex femme, et utilise tous les mensonges et prétextes possibles pour cela. " j'ai donné l'ordre à mon avocat français, maître Salvia, de lui rendre les clefs, mais celui ci refuse de m'obéir " - l'argument fait sourire lorsqu'on sait qu'un avocat ne fait que respecter les ordres qui lui sont donnés par son client, et que le refus d'exécuter l'un de ses ordres est passible de sanctions du bâtonnier du conseil de l'ordre des avocats - . Finalement, il fait parvenir à son ex épouse une clef ( la propriété comporte au moins 10 corps de bâtiments ainsi qu'un portail automatique) qui n'ouvre aucunes portes pour la bonne raison qu'il a fait changer le 5 janvier  2015 toutes les clefs et tous les codes d'accès.

Quelle duplicité! 

Il a fallu que on épouse demande le concours de la force publique, ainsi que la présence d'un huissier et d'un serrurier pour qu'elle puisse enfin entrer. Cela alors même que par 3 fois, Fred Nall Hollis s'est engagé par écrit et devant témoins, à lui donner accès et pleine possession de ce bien !!!!

De la difficulté de faire appliquer un jugement américain en France

La justice n'est pas chose simple. La rendre est une chose, la faire appliquer , une autre paire de manche! L'exequatur est une procédure visant à donner, dans un État, force exécutoire à un jugement rendu à l'étranger. En effet, un jugement rendu dans un État n'est pas forcément reconnu dans un autre État. Quand bien même un jugement serait reconnu dans un autre État que celui où il a été prononcé, cette reconnaissance n'implique pas qu'il ait une force exécutoire.
Il sert aussi à rendre exécutoire une sentence arbitrale.
Le droit français est, du moins en théorie, relativement libéral, puisque la règle de droit commun en matière d'exequatur est prévue à l'article 509 du code de procédure civile, selon lequel : « Les jugements rendus par les tribunaux étrangers et les actes reçus par les officiers étrangers sont exécutoires sur le territoire de la République de la manière et dans les cas prévus par la loi ». Cependant, cette règle, existant depuis le code de procédure civile de 1806, ne s'est jamais appliquée en tant que telle, la jurisprudence en ayant précisé, pour ne pas dire durci, les conditions d'application.

Exequatur d'un jugement rendu en dehors de l'Union européenne
Le juge de l'exequatur statue par voie d'ordonnance. S'agissant du contrôle du juge en la matière, on remarquera que celui-ci est très restreint. Il permet seulement au juge de l'exequatur de contrôler que la sentence n'est pas entachée d'un vice trop grave. Celui-ci ne peut pas réviser la sentence sur le fond du droit. Aussi, opère-t-il une simple vérification de la régularité formelle de la sentence quant à sa conformité à l'ordre public. L'exequatur a pour effet de rendre la sentence arbitrale exécutoire et en permet l'exécution forcée (valant titre exécutoire il alors possible de recourir à toutes les voies d'exécution forcée telles que saisie exécution, attribution, etc.). 

A propos d'art: mais qu'est ce que la cote d'un artiste ?La petite carrière de Fred Nall Hollis dit NALL


Non content de ne pas respecter le premier jugement du Juge Floyd, en date du  20 juin 2012, Nall s'y est franchement opposé, allant jusqu'à accuser  son ex épouse et à la faire condamner ( condamnation à laquelle bien entendu celle ci a fait appel ), pour le vol supposé et la destruction d'oeuvres d'art, réclamant des sommes folles en dommages et intérêts ( on parle ici de plusieurs millions d'euros) , cela bien entendu en plus des biens qui lui ont déjà été attribués par le juge en Alabama lors du jugement de divorce ( biens évalués à 2 millions de dollars). L'affaire est d'autant plus sordide que "Tuscia" Patrica Cole, l'ex épouse,  à rendu à Nall et cela depuis longtemps, la totalité des pièces en question. Mais qu'à cela ne tienne! Nall est fermement décidé à dépouiller jusqu'au bout Tuscia, sa malheureuse et dévouée compagne ( rappelons au passage que c'est elle qui a financé la totalité des achats de biens immobiliers, dont la partie américaine revient aujourd'hui à Nall, qui en a déjà pris possession, alors même qu'il refuse de rendre à son ex épouse la propriété française qui lui revient de droit  suite au jugement de divorce). 

Pour la petite histoire, on se rappellera que l'année précédent son mariage avec Patricia Cole, Fred Nall Hollis déclarait au fisc américain 18 000 dollars  de revenus, soit environ 15 000 euros ! Comme on peut l'imaginer, ce n'est pas avec cette fortune qu'il pourrait s'acheter la splendide propriété Karolyi à Vence d'une valeur  de l'équivalent d'un million d'euros, soit 6,5 millions de francs à l'époque !

La triste et classique histoire d'un  "toxic gigolo" en herbe : quand Nall rencontre Tuscia !


En effet, on sait donc que lorsque Nall arrive dans le sud de la  France, dans les années 1980, il loue loué un appartement qui lui sert aussi d'atelier sur le cours Saleya à Nice, sur la Rivera française. Puis il se transfère dans la petit ville de Vence, sur les hauteur de Cagnes sur Mer, où il achète un atelier.  

Et là en 1990, c'est le jackpot pour lui : il rencontre la jeune et richissime veuve d'un homme d'affaire décédé récemment, et dont elle vient d'hériter. 

Nall comprend tout tout de suite qu'elle est complètement subjuguée, et qu'il pourra la manipuler à loisir…  il lui propose le mariage, qui est célébré le 18 mai 1991. C'est le lendemain qu'il  propose à son épouse qu'elle lui achète, et il présente cela comme projet de vie, la maison de Vence.

Elle accepte. Et c'est le début pour elle d'une lent et insidieux processus qui amorce une véritable descente aux enfer.

Émotionnellement déstabilisée par son deuil tout récent, Patricia"Tuscia Cole"  citoyenne britannique,  est une ravissante jeune femme, brillante ( elle est parfaitement tri lingue anglais-français - italien ) et diplômée  de Sciences Po,  lInstitut d'études politiques de Paris (IEP Paris), établissement d'enseignement public ayant le statut de "Grande École".

La jeune femme à la demande de son nouveau mari, se dédie entièrement dans le lancement et la promotion de sa carrière de peintre, poussive qui jusque là. Elle se lance dans la bataille avec toutes ses forces  et dépense pour cela des sommes considérables, telles que chiffrées par l'expert comptable agréée par les tribunaux à 3,5 millions d'euros … cela sans compter les dépenses considérables en liquide et les achats de propriétés en France et aux USA.

Après 16 ans de promotion acharnée, sur le plan local entre Monaco, l'Italie où elle a ses racines maternelles, et l'Alabama, le travail de Tuscia Patricia Cole porte quelques fruits, et Nall semble acquérir un début de renommée très provinciale et circonscrite à la Principauté de Monaco, à quelques villes d'Italie et d'Alabama.

Mais au delà des dires des uns et des autres, pour avoir une idée de la véritable valeur des oeuvres de Nall aujourd'hui, la seule référence reconnue par les tribunaux pour déterminer la cote d'un artiste, c'est ce que l'on appelle "le prix au marteau" : c'est à dire le prix réel et effectif  obtenu dans le vents publiques. En regardant les résultats des ventes aux enchères au niveau mondial, sur Artprice par exemple ( Nall clame  à corps et à cris être un "artiste de renommée mondiale"  -sic -). Aucunes des pièces proposées à la vente  depuis une bonne dizaine d'années, n'a trouvé preneur,  au delà de 100 € pour le multiples et de 4900 € pour les originaux ( vente à Düsseldorf: l'Amour ), exception faite pour 2 pièces, "Iris Bleu" et "Security blancket",  achetées par Tuscia Cole en personne.

Du reste, l'oeuvre achetée quelques milliers de dollars par l'homme d'affaire américain,  ( qui, avec l'ancien Gouverneur d'Alabama, Don Siegelmann, a fini en prison  pour fraude, Mr Richard M. Scrushy, http://www.nytimes.com/2007/07/17/washington/17attorneys.html?_r=0   ) a été mise en vente il y a quelques années, dans un "vide grenier" en Alabama  pour la somme de 3000 $ : nul ne sait si il y trouvé un acquéreur !

"l'argent de ma femme, c'est seulement pour moi! Je vous préviens qui si vous lui prenez quoi que ce soit, vous me le rembourserez au centuple"


…  Ainsi Nall a déjà réussi à ruiner son ex épouse en la forçant à engager des frais pharamineux pour la promotion de sa carrière, a aussi réussi à récupéré  tous les biens achetés  par celle ci en Alabama, grâce au jugement rendu par l''Honorable Langford Floyd. 

Mais cela ne lui suffit pas.

C'est un manipulateur  pervers narcissique, séduisant, sympathique, qui sait charmer par ses flatteries, mais dont le seul objectif  est de dépouiller sa victime,Tuscia Patricia Cole, en la faisant entrer dans une spirale infernale de culpabilisation et de dévalorisation, en la rabaissant  et en  l’humiliant  - très vite, après leur mariage, il l'a bat, mais honteuse, elle se tait - , tout en prétendant vouloir son bonheur…  à tel point qu'à la suite d'une très grave et très longue maladie ( une septicémie) qui l'amènera  à être hospitalisée pendant 6 longs mois aux portes de la mort, 6  mois d'hospitalisation au long desquels Nall, qui est encore son mari à l'époque, ne lui rend pas une seule fois visite, Tuscia  ne se révolte même pas  et retourne dans le foyer conjugal. 

C'est à cette époque que lors d'une réunion avec un membre de l'association parisienne "la Mie de pain" , dédiée à l'aide au logement  et à l'alimentation des sans abris, que Patricia Cole souhaitait aider à organiser un gala de bienfaisance à Monaco, Fred Nall Hollis  profite d'une courte absence de son épouse pour marteler, en regardant droit dans les yeux les membres médusés de la "Mie de Pain" : "l'argent de ma femme , c'est seulement pour moi! Je vous préviens qui si vous lui prenez quoi que ce soit, vous le paierez très cher et vous me rembourserez au centuple".


Un artiste bidon qui trafique pour faire monter artificiellement sa cote.


Cet égocentrique utilise tous les trucs et toutes les ficelles du métier pour abuser ses acheteurs et "admirateurs", quant à la valeur de ses toiles.


- " les moyens de soutenir une cote font partie de ces zones d'ombres qui entourent le mécanisme des enchères : oeuvres officiellement achetées, mais jamais payées et donc retournées à l'artiste, par exemple. Certains artiste ou professionnels n'hésitant pas à "pousser" les enchères sur une oeuvre qu'ils veulent valoriser, sachant  qu'ils ont les moyens légaux  de ne pas conclure la vente au cas où elle viendrait à s'arrêter sur leur offre".

- Offrir des oeuvres à des gens célèbres de façon à pouvoir ensuite affirmer qu'on fait partie de la collection privée Untel et Untel. l'idéal est de réussir à s'infiltrait auprès de collectionneurs réputés propriétaire d'oeuvres de grands noms de la peinture et du monde de l'art, de façon à mettre son travail sur le même pied que celui de peintre célébrissimes.

-  Accoler son nom à celui de gens célèbres, en racontent des anecdotes sans grand intérêt. Nall par exemple aurait habité  à Vence dans l'ancien de Dubuffet : cela en réalité, n'indique absolument  pas que Nall ait le talent de ce grand maître. Mais qu'est ce que c'est "chic", n'est ce pas ? Idem pour les référence à Salvador Dali, qui aurait été son mentor pendant de longues années mais dont Nall n'a jamais fait voir aucunes photos !

la Nature and Art Life League ( Nall) association : une association pour promouvoir la carrière et les seuls intérêts de Fred Nall Hollis


Ce manipulateur peu scrupuleux n'hésite pas à réécrire son histoire en transformant la réalité. Il utilise des approximation, des contrevérités, dissimulant les faits les plus explicites, afin de faire de lui même un portrait flatteur. il n'hésite pas, par exemple à appeler l'association Nature Art and Life League, crée par son épouse Patricia Cole qui en a été la trésorière et le plus généreux ( et presqu'unique) donateur jusqu'à sa démission en 2007, "la `Fondation Nall". 

Pour clarifier les choses, il faut savoir qu'en France une fondation jouit d'une aura particulière. En effet le terme de fondation est défini par l'article 18 de la loi du 23 juillet 1987 : « Une fondation désigne l’acte par lequel une ou plusieurs personnes physiques ou morales décident l’affectation irrévocable de biens, droits ou ressources à la réalisation d’une œuvre d’intérêt général et à but non lucratif. » Cette loi ajoute qu'une fondation « ne jouit de la capacité juridique qu'à compter de la date d'entrée en vigueur du décret en Conseil d’État accordant la reconnaissance d'utilité publique. Elle acquiert alors le statut de fondation reconnue d'utilité publique. La création d'une fondation n'a pas pour but de servir des intérêts privés.

Bien entendu, tout cela n'est absolument pas le cas de l'association Nature and Art Life League, la dite association N.A.L.L dont l'objet principal a été au fil des années la promotion du  travail de Nall lui même ! Mais qu'à cela ne tienne Fred Nall Hollis n'en est pas à un mensonge prêt ! Il laisse à dessein planer le doute dans l''esprit des gens, car cela lui sert. Il n'est pas rare en effet d'entendre des naïfs s'indigner " C'est honteux que Patricia Cole veuille reprendre la propriété de Vence: c'est une Fondation ! ".

Et au ton sur lequel il le disent on comprend le respect que le mot leur inspire.

Mais en réalité,  la Nature and Art Life League ( Nall) association, n'a jamais été une fondation. Une fondation, c’est avant tout de l’argent privé mis à disposition d’une cause publique. À l'inverse la Nature and Art Life League ( Nall) association résulte du concours de volonté de plusieurs personnes pour œuvrer ensemble à la promotion de la carrière de Fred Nall Hollis. Qu'accessoirement, et toujours dans ce but, l'association ait hébergés quelles stagiaires ou artistes en résidence ne change rien aux faits.

Hollis contre Hollis : un divorce douloureux


Ce n'est qu'en 2007 que Patricia Cole trouvera la force de demande le divorce pour altération définitive du lien conjugal. Elle n'apprendra que lors de sa déposition sous serment que son ex époux l'avait toujours trompé… ce qu'il confirmera devant le  greffe en ces termes  "j'ai trompé ma femme depuis le premier jour de notre mariage".

C'est ainsi que pour achever son "oeuvre", et dans la cynique logique qui est la sienne depuis le début, alors même que son ex épouse  lui a rendu depuis 2012, tous les tableaux qu'elle avait pu dans un moment de colère, mettre de côté, Nall l'assigne en justice pour "vol ( le divorce est prononcé depuis la veille,  et le vol entre époux n'existe pas) et réclame, en France et en Alabama ….. plusieurs  millions  d'euros de dommages et intérêts ! 

Dans la liste qu'il soumet à la justice,  comme justificatif de sa demande extravagante de dommage et intérêt, il n'hésite pas à inclure des objets appartenant en propre a Patricia Cole, dont elle a hérité de son défunt mari. 

Quant aux estimations de la valeur des oeuvres ( qui rappelons le, lui ont toutes été rendues depuis longtemps ), c'est du franc délire. Par exemple, on y découvre une "estimation"  de Nall pour un tableau "la pucelle"  ( crayon, encre de chine et aquarelle) à hauteur de  centaines de milliers d'euros,  alors qu'une d'une pièce similaire "la soumission" , numéro 91 du catalogue, évaluée par l'expert entre 2000 à 3000 euros  n'a pas trouvé acquéreur dans a la vente publique du Samedi 26 juillet 2014 à Monaco, faute d'enchère.

Un mix media  de format moyen s'est vendu 480 euros en 2013 lors d'une vente aux enchères, "Door un Sousse" , alors que  Nall attribue à des pièces similaire des valeurs allant de 25 000 à 60 000 euros.

Pire, les recherches sur sa cote démontrent que sur  la plupart des oeuvres proposées à la vente ces dernières années  n'ont pas  trouvé preneurs, ou alors ont ét évendues à des prix très bas. Toute la liste est du même acabit, et les oeuvres équivalentes à celles qui se voient "ravalées" ( invendues) aux enchères, se voient attribuées par NALL des valeurs délirantes, bien éloignée de la simple réalité.

Devant tant d'injustice, de mensonge et de duplicité, il semble bien que son ex épouse et victime Patricia "Tuscia" Cole ait enfin trouvé le courage de se battre pour sa dignité.

L'Honorable  Langford Floyd du tribunal de Bay Minette, Alabama  a tranché : avant le 13 novembre 2014, Nall devait rendre les clef de la maison de Vence à son ex épouse, et il lui était formellement interdit de retirer quoi que ce soit de la maison de Vence, hormis ses effets strictement personnels ( vêtements, objets de toilette). Pour l'instant, Nall n'a toujours pas remis les clefs de la propriété de Vence à son ex épouse !  Finira-t-il  en prison pour outrage à magistrat ou par entendre enfin raison et rendre à Tuscia ce qui appartient à Tuscia!


Françoise Zorro


Notes annexes 

Sur L'association Nature and Art Life League, la vie de Nall et son parcours, on peut consulter le site wikipedia http://en.wikipedia.org/wiki/Fred_Nall_Hollis


nb: Outrage à magistrat/ Contempt of court, ce mot qui signifie en anglais  «mépris», est le délit de désobéissance irrespectueuse envers un tribunal et ses officiers.  C'est un défi à l'autorité,  à la justice et à la dignité du tribunal. Elle se manifeste par un  mépris volontaire ou manque de respect pour l'autorité d'un tribunal, un comportement qui est illégal parce qu'il n'obéit pas ou ne respecte pas les règles d'un tribunal.
Comme expliqué dans la populaire Law Dictionary par Gerald et Kathleen Hill, "il existe essentiellement deux types de "contempt" ( outrage à magistrat)  : (1) être impoli, irrespectueux envers le juge ou d'autres avocats ou causer une perturbation dans la salle d'audience, en particulier après avoir été averti par le juge ; (2) l'omission volontaire d'obéir à un ordre de la cour ». 

les procédure de "contempt"  sont particulièrement utilisées pour faire appliquer des jugements équitables, tels que des injonctions.
Le juge peut imposer des amendes et / ou une peine de prison à toute personne qui a commis un outrage au tribunal.

les pervers narcissiques





vendredi 14 novembre 2014

Quelle opportunité pour une Année de la Russie à Monaco en 2015" , à l'heure où l'inquiétude grandit dans la crise entre l'Ukraine et la Russie

A l'heure où l'inquiétude grandit  dans la crise entre l'Ukraine et la Russie, alors que le gouvernement français doit gérer les menaces russes citée par l'agence Ria Novosti "La France a jusqu'à fin novembre pour livrer un premier navire de guerre Mistral à la Russie si elle ne veut pas s'exposer à de "sérieuses" demandes de compensation, a déclaré vendredi 14 novembre une source russe haut placée", on peut à juste titre se demander si il est bien opportun pour la Principauté de Monaco de lancer en grande fanfare  son Année de la Russie à Monaco en 2015.



Alors que le 12 nov 2014,  le Conseil de sécurité de l'ONU se réunit en urgence et que comme on peut le lire sur le site du journal le Monde, les affrontements se sont intensifiés depuis quelque temps, notamment après la tenue d'élections séparatistes dans l'est du pays ; alors les informations sur l'entrée depuis vendredi de convois militaires russes lourdement armés, d'abord données par Kiev, ont été corroborées par l'Otan et l'OSCE (

Ukraine: l’OSCE met en garde contre une escalade militaire dans l’est) , la page de présentation de la dite année de la Russie à Monaco en 2015 sur le site officiel du Palais Princier semble un peu décalée.


Le quotidien régional Nice-Matin avait déjà soulevé cette incongruité dans son édition du 13 octobre 2014 sous le titre "L'Année Russe à Monaco: marche arrière toute"
en précisant que cette célébration était  : Une volonté du Prince, qui avait souhaité, de par son amitié avec le dirigeant, Vladimir Poutine, mettre en avant « les liens qui existent entre nos deux pays depuis fort longtemps. Et soulignera notamment l'extraordinaire richesse de la culture russe : arts plastiques, danse, musique, arts culinaires », confiait-il lors de la traditionnelle interview du début de l'année, dans nos colonnes du 22 janvier dernier. Le souverain avait même laissé entendre que Vladimir Poutine pourrait venir en Principauté célébrer l'événement « si son emploi du temps le lui permet ».

Quand bien même, d'après le même, journal, "la voilure de la manifestation serait significativement réduite" , ce sont tout de même une centaine d'événements qui sont  fixés. Côté budget, les élus de la majorité s'inquiètent du coût d'une telle manifestation s'étalant sur un an (participation de 700 000 euros en 2014 et 1 million en 2015, hors partenaires).

Le contexte international est très tendu, comme une simple recherche sur le sujet le démontre, avec Le Monde titrant  le  23.10.2014  "Ukraine : L’Europe est indirectement en guerre ", dans un article développant  le sujet "La Russie défie aujourd’hui l’existence même de l’Europe sans que les Européens et leurs dirigeants en aient pris pleinement conscience... Violant ses obligations en vertu des traités, la Russie a décidé d’annexer la Crimée et d’établir des enclaves séparatistes dans l’est de l’Ukraine".

Alors que l'Avenir se fait écho de ces mêmes tensions " le 24 octobre 2014, sous le titre "UKRAINE
Des forces russes toujours en Ukraine à deux jours des élections", et développe le sujet dans un dossier sur la situation en Ukraine, indiquant " des troupes russes sont toujours présentes sur le territoire ukrainien en dépit des démentis de Moscou, à l’avant-veille des élections législatives dans ce pays, ont affirmé ce vendredi les deux plus hauts responsables civil et militaire de l’Otan... la Russie viole toujours la loi internationale et la souveraineté et l’intégrité territoriale de l’Ukraine», a déclaré M. Stoltenberg"

Les nations ont lancé depis le 29 juillet 2014, de nombreuses sanctions contre la Russie de Poutine , et l'analyse du quotidien "Le monde" sur le sujet est détaillée et pertinente 

Ces sont  sanctions économiques, militaires, technologiques et énergétiques et sont assorites deD restrictions additionnelles pour la Crimée et Sébastopol
"L'UE a également décidé mardi de bloquer les avoirs de plusieurs hommes d'affaires russes, proches du président Poutine et accusés de bénéficier de l'annexion de la Crimée ou de soutenir activement la déstabilisation de l'est de l'Ukraine", indique le quotidien . Voir la liste des sanctions, publiées mercredi au Journal officiel de l'UE, adoptées au plus tard le 1er août.

Le président Barack Obama de son côyé mis en place de  nombreuses sanctions contre « des secteurs clés de l'économie russe », et le Japon n'est pas de reste qui interdit les exportations d’équipements militaires et l’émission de titres de cinq banques russes au Japon ( voir les Echos http://www.lesechos.fr/monde/europe/0203672658719-ukraine-lue-adopte-les-premiere-sanctions-economiques-contre-la-russie-1028691.php

Ces sanctions s’ajoutent à ­celles prises par  l’Australie, le Canada durant l’été qui proscrivent toute opération financière avec les principales banques russes. 

En représailles, Moscou a interdit les importations de produits alimentaires européens, avec pour conséquence la réapparition de rayons vides dans certains magasins russes, une image rappelant l’URSS. Le marasme est palpable actuellement en Russie, comme l’illustre la chute de presque 30 % du marché automobile au mois d’août.


Quelques liens  pour documenter le sujet 
http://www.france24.com/fr/20140912-UE-nouvelles-sanctions-contre-russie-economie-petrole-ukraine-union-europenne-france/
Le 12 septembre: De nouvelles sanctions de l’Union européenne contre Moscou, conséquence du conflit en cours dans l’est de l’Ukraine, sont appliquées à partir de vendredi... Ces mesures ciblées bloquent le financement de la dette de trois compagnies pétrolières, Rosneft, Transneft et la branche pétrolière de Gazprom, Gazprom Neft, ainsi que trois du secteur de la défense, OPK Oboronprom, United Aircraft Corporation et Uralvagonzavod. L'UE a aussi ajouté une liste de "neuf sociétés mixtes du secteur de la défense" aux entreprises déjà visées par une interdiction d'exportation de biens à double usage civil et militaire. 24 personnes russes et ukrainiennes sont visées par un gel de leurs  avoirs et une interdiction de voyager dans l'UE, parmi lesquelles Sergueï Chemezov, proche du président Vladimir Poutine, Youri Vorobiov, vice-président de la Russie, et plusieurs vice-présidents de la Douma : Vladimir Vasiliev, Ivan Melnikov et Igor Lebedev.



Un régime de sanctions très sophistiqué a été introduit contre la Russie 



En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/monde/europe/0203803805068-tokyo-renforce-ses-sanctions-contre-la-russie-1046283.php?XZXCHdElPl1VXumc.99



Ukraine/Russie: l'Union européenne approuve de nouvelles sanctions contre Moscou malgré le cessez-le-feu
Le HuffPost avec AFP
Publication: 09/09/2014 07h34 CEST Mis à jour: 09/09/2014 07h37 CEST
http://www.huffingtonpost.fr/2014/09/09/ukraine-russie-union-europeenne-sanctions-moscou-cessez-le-feu_n_5788556.html?utm_hp_ref=russie

RUSSIE - C'est décidé. L'Union européenne a approuvé lundi soir, le 8 septembre, de nouvelles sanctions contre Moscou en dépit de la poursuite du dialogue de paix sur l'est de l'Ukraine acceptée par les présidents russe Vladimir Poutine et ukrainien Petro Porochenko.


et voir aussi 

18. L'Union européenne attend de la Fédération de Russie qu'elle respecte la souveraineté
nationale et l'intégrité territoriale de l'Ukraine et contribue à la stabilisation politique et à la
reprise économique en Ukraine. Le Conseil européen réaffirme qu'il ne reconnaîtra pas
l'annexion illégale de la Crimée. La Fédération de Russie devrait assumer les responsabilités
qui sont les siennes dans la mise en oeuvre pleine et entière des accords de Minsk.
En particulier, les autorités russes devraient empêcher tout mouvement de militaires, d'armes
ou de combattants en provenance du territoire russe vers l'Ukraine. Elles devraient exercer leur
influence pour que les séparatistes s'acquittent de bonne foi des obligations auxquelles ils ont
souscrit à Minsk. La Fédération de Russie devrait également soutenir les activités de
vérification menées par l'OSCE.










Le Conseil de sécurité de l'Organisation des nations unies a annoncé une réunion en urgence mercredi soir pour examiner les accusations d'incursions militaires russ...